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Faits
et
Hypothèses |
Comme nous
l'avons vu dans la page précédente
(Soleil et OJ 287)
- La période de révolution de Jupiter est de 11,8
ans.
(Exactement 11,862615 ans)
- Jupiter est l'objet X recherché.
- Les cycles solaires et ceux de
OJ 287 sont alignés sur la période de révolution de Jupiter.
- Les marées provoquées par
Jupiter dans le Soleil pourraient être la cause de ce
phénomène.
|
Actions de
Jupiter
sur
le Soleil |
En Janvier 1966, l'astronome Michel
Trellis a publié aux
CRAS ses observations sur le
Soleil, concernant les
marées générées par les planètes. Dans l'ordre
d'efficacité on a :
- Jupiter, car la plus massive.
- Venus, car assez proche du Soleil.
- Toutes les autres ne sont pratiquement pas détectées.
(Trop lointaines ou pas assez massives).
Ces marées sont à peine discernables. Cela s'explique par
suite de la nature du milieu au niveau de la photosphère. Il
s'agit d'un gaz extrêmement dilué soumis à des turbulences
complexes. (mécaniques, magnétiques).
Regardons ce qui pourrait se passer dans les couches
inférieures.
-
Dans la zone de convection, on est
en pleines turbulences, donc les marées n'ont aucune
possibilité d'être détectées.
-
Dans la zone radiative, du moins à sa
surface, la sismologie ne révèle rien de particulier.
-
A la surface du noyau, on pourrait
espérer voir par sismologie, des déformations liées aux
marées. Or ce n'est pas le cas, Le noyau nous apparait comme
une sphère.
-
A l'intérieur du noyau, on ne voit rien.
Les ondes sont réfléchies à la surface et ne peuvent
pénétrer au delà.
|

Fig. 1 |
Questions Réponses
et
Hypothèses |
Qu'y aurait-il dans le noyau qui serait sensible aux
marées provoquées par Jupiter ?
- Le noyau est un gaz dont la température est de 15 000 000°C.
- La pression, à laquelle ce noyau est soumis, est telle que
sa densité est de 137. Sur la Terre, 1 cm3
de noyau solaire pèserait donc 137 grammes.
- Au centre du Soleil, la densité serait de
≥ 150.
Il y aurait au centre de ce noyau une "graine"
qui, sous l'effet de la pression, aurait des propriétés
physiques des plus surprenantes.
- Un cm3 de cette graine pèserait plus
de 150 grammes.
- Du fait de sa rotation, cette graine aurait une forme de
Sphéroïde plat. (Fig. 2)
- Composition : mélange
hyper
fluide à haute densité de Neutrons et de Protons et aussi de
particules chargées ?
- Cette graine se comporterait donc,
au moins à sa surface, comme un liquide.
Au centre elle pourrait être solide.
S'agirait-il d'Helium
solide ?
- Elle serait en rotation très rapide dans un plan
perpendiculaire à un axe Nord-Sud.
Par suite de cette rotation un champ magnétique est induit
parallèlement à l'axe de rotation.
- La graine prend une forme géométrique de Sphéroïde allongé
en rotation (Fig.3). Manifestation des marées dues à Jupiter,
c'est une onde de résonance
en rotation selon une relation harmonique avec la
période de Jupiter (2 x 11,8 = 23,6 ans).
Les marées sont ainsi fortement
amplifiées par ces résonances.
(Attention, il ne faut pas confondre la rotation propre du
sphéroïde avec la rotation des ondes de résonances).
- Du fait des
rotations différentielles entre les ondes de marées de la
graine et Jupiter, ces deux ondes
seraient resynchronisées l'une après l'autre avec un écart de 11,8 ans.
- Ces resynchronisations ont pour conséquences :
- De générer deux sommets d'amplitude sur l'onde de
marée. Ceci se manifeste dans les cycles solaires et
dans ceux de OJ 287 par les deux pics observés au sommet
de chaque cycle.
- A chaque resynchronisation, pour
une raison qui n'est pas encore totalement
élucidée, le champ magnétique de la graine
s'inverse. La super fluidité de la graine
pourrait en être l'une des causes. Nous évoquons
plus loin une deuxième cause possible.
|
Sphéroïde plat

Fig. 2 |
Graine

Fig. 3 |
Source:
NASA

Fig. 4 |
Un document (Fig. 4) qui a été publié par la
NASA,
nous montre la répartition et l'évolution, au cours du
temps, des champs magnétiques visibles à la surface du
Soleil. Il ne faut pas oublier qu'il existe des champs
magnétiques de surface qui interfèrent avec le champ
issu des profondeurs du soleil. Cela gêne un peu la
lisibilité de ce document. Ajoutons qu'il faut tenir
compte de la rotondité et de la rotation différentielle du soleil qui déforment sur l'image
les trajectoires des champs magnétiques.
Toutefois son interprétation, au vu des hypothèses que
nous présentons ici, démontre qu'il s'agirait en fait d'un
basculement mécanique de la graine.
Dans cette image, les champs magnétiques positifs sont
en jaune et les champs magnétiques négatifs sont en
bleu. On remarque que le basculement est caractérisé par
des zones intermédiaires instables (trainées) qui sont
caractéristiques du basculement. Ce basculement est
schématisé dans la fig. 5. Ce n'est pas
un signal sinusoïdal, mais un signal trapézoïdal. C'est
donc un ensemble de commutations, lesquelles génèrent
des signaux électromagnétiques importants. Par rapport au plan
de l'écliptique, l'orbite de Jupiter forme un angle de
1,3° et l'axe de rotation du soleil est incliné de
7,25° par rapport à la perpendiculaire au plan de
l'écliptique.
Il se pourrait donc que le basculement de la graine soit lié
à ces différentes valeurs angulaires de rotations
(7,25° +/- 1,3°) qui entraineraient, lors des resynchronisations, une
torsion de la graine expliquant ces basculements et ces trainées sur les
couleurs jaunes et bleues.
L'image de la NASA est
une preuve quasi certaine de l'existence d'une graine au
centre du Soleil.
Nous pouvons remarquer que le Soleil a pour
particularité de présenter une certaine transparence aux
champs magnétiques.
De cette image et de celles qui, on l'espère, suivront, il sera
peut-être possible de déterminer les dimensions de la
graine; puis, de l'intensité du champ magnétique, on
pourra en déduire l'intensité du courant électrique
inducteur.
A notre grand regret, nous ne connaissons pas les
positions de Jupiter par rapport aux champs magnétiques
de cette image.
|
Source: B. Lempel

Fig. 5 |
(Source NASA - Pioneer)
 |
Il reste à expliquer le phénomène physique
de transmission du signal entre le Soleil et OJ 287.
S'agit-il d'une onde gravitationnelle, d'une onde électromagnétique ou encore de
tout autre chose. Nous n'en savons rien pour le moment.
Toutefois, si la distance entre le Soleil
et OJ 287 n'est que d'une centaine
d'années de lumière, les choses devraient s'en trouver
facilitées.
Mais regardons ensemble ce que nous pouvons déduire des
observations.
Transmission du Signal entre le
Soleil et OJ 287 :
- Une onde gravitationnelle ?
Ici le générateur est le Soleil, et
il est tout
près de la Terre. Ce sont des conditions idéales pour
leur détection. Mais à ce jour on n'a rien détecté
de tel.
Nous ne pouvons donc qu'éliminer cette
hypothèse.
- Une onde électromagnétique ?
Du fait de sa rotation,
le champ magnétique du Soleil
prend la forme d'une spirale logarithmique avec une période de 11,8
ans (Spirale de Parker). A chaque nouvelle
période, le nouvel élément de cette spirale change de polarité par rapport
au précédent. C'est donc une onde magnétique de grande amplitude
et sa
période est de 11,8 ans. Elle se propage,
à quelques
degrés près, selon le plan de l'écliptique.
Cette onde
pourrait donc très bien être la source excitatrice de OJ 287
qui, on le rappelle, est dans la constellation du Cancer c'est à dire dans le plan de l'écliptique. Mais actuellement nous ignorons par quel moyen elle le fait. La spirale de Parker transporte les particules du vent
solaire. Cela assure probablement la cohésion des lignes de
forces du champ magnétique lors de la transmission de l'onde
magnétique vers OJ 287. La spirale de Parker a la forme d'une double
spirale logarithmique, ce qui implique que sa vitesse de
propagation s'accroît avec la distance. Cela complique le
calcul de la distance Soleil → OJ 287,
car si le signal reçu de OJ 287 se propage à
la vitesse de la lumière, il n'en va pas de même pour l'onde
magnétique. La seule chose qui est connue est
la durée aller retour du signal, soit 200 ans environ. Donc
la distance de OJ 287 est
inférieure à 100 al.
Nous avons réalisé une carte de la région du zodiaque ou se
trouve OJ 287. Pour la voir en entier, il suffit de cliquer sur
l'image réduite, ci-contre. On remarque que :
- Le nœud ascendant de l'équateur solaire est dans la
constellation du Taureau, donc assez proche du Cancer.
-
§
Le quasar OJ287 est à 2°,59 au
nord de l’écliptique et à 3°,33 au sud de
l’équateur du Soleil. Il eut été trop beau que ce quasar
soit juste dans le plan de l’équateur solaire !
- Et finalement en tenant compte de l'inclinaison du plan de rotation du
Soleil (7,25°) et de l'épaisseur croissante de la spirale de
Parker en fonction de la distance, on se rend compte que
OJ 287 ne peut pas échapper à l'influence du champ magnétique
du Soleil.
Le red shift atypique de OJ 287 :
- Il n'existe pas actuellement, chez les
astrophysiciens, de théorie admise permettant d'expliquer le
red shift atypique de OJ 287.
- Toutefois un physicien Jacques Moret-Bailly
propose, depuis quelques années déjà, une théorie qui
s'appuie sur la théorie des quantas. (Effet CREIL).
Nous ne pouvons pas assurer que cette théorie soit celle qui
s'imposera.
Nous lui avons consacré une page
"Recette: Fabriquez votre Quasar" dans laquelle on peut
trouver une liste de ses publications.
- §
Le 5 Septembre 2014 une étude concernant les
red shifts atypiques de certains Quasars, entre autres
NGC 7603, a été publiée:
Expanding space, quasars and St. Augustine’s fireworks.
O. I. Chashchina & Z. K. Silagadze -
arXiv:1409.1708v1 [gr-qc]. Nous ne pouvons qu'être
heureux que certains scientifiques s'intéressent enfin à ce
sujet controversé.
|
Une partie du Zodiaque
 |
Relations avec l'onde de Kotov
à 160 minutes : |
Il existe une autre coïncidence entre le Soleil, Jupiter
et le "quasar" OJ 287. Il s'agit de la période de
Kotov de 160 mn déjà évoquée dans
Quasars et
Onde de Kotov.
Il apparait que l'onde de Kotov s'applique aussi très bien aux rayons
des orbites des planètes géantes du système solaire et en
particulier à Jupiter, mais dans ce cas particulier avec un
excès de 10% environ comme nous le montre le
tableau ci-dessous.
|
 |
est la longueur d'onde
correspondant à la période de Kotov. |
|
Résonance |
Dimensions en UA |
Rapportées au
Système Solaire |
Avec période =
160 mn |
Observée |
|
19,2012 |
19,2181 |
Soleil
↔ Uranus |
/2 |
9,6006 |
9,5547 |
Soleil
↔ Saturne |
/4 |
4,8003 |
5,2026 |
Soleil
↔
Jupiter |
On se rend compte ainsi que les périodes de révolution des
planètes géantes du système solaire et en particulier celle de
11,8 ans de Jupiter seraient liées à l'onde de Kotov !
On peut envisager qu'il s'agirait de résonances
gravitationnelles sur lesquelles se seraient calées ces planètes
au début de l'histoire de la formation du système solaire.
Elles n'auraient pratiquement pas évoluées depuis, sauf Jupiter.
Le cas de Jupiter s'explique très bien si l'on fait l'analogie
avec le système Terre-Lune : la Lune s'éloigne peu à peu de la
Terre par suite des effets de marées et Jupiter s'éloigne peu à
peu du soleil par suite des effets de marées induits dans le
Soleil.
Quelle chose étrange que de pouvoir dater avec une certaine
précision la formation du système solaire grâce à l'onde de
Kotov !
C'est une chose encore plus étrange que de pouvoir mesurer
l'énergie consommée par l'effet de
marée de Jupiter sur le Soleil.
Ce décalage de Jupiter est une preuve supplémentaire de cet
effet de marée sur le soleil.
L'onde de Kotov a aussi été détectée dans OJ 287.
Il ne s'agit pas à proprement parler d'une coïncidence car on
l'a
détectée dans de nombreux objets dans l'univers, qu'il
s'agisse d'étoiles (Delta Scuti et RR Lyrae) ou de
quasars. Tous ces objets sont répartis dans
toute la voute céleste. Cela implique donc un phénomène à grande
échelle pour lequel on ne peut pas définir une source en
particulier.
S'agit-il d'une propriété commune à tous les objets concernés ?
S'agirait-il d'un phénomène de nature cosmologique comme
semblent le penser Valery Kotov, Christian Bizouard et Francis Sanchez.
Voir :
soleil_onde_kotov.htm
quasars_onde_kotov.htm
L'avenir nous le dira. |
|
Conclusions : |
- A notre connaissance,
la graine solaire est un phénomène nouveau. Une graine solide-liquide
n'avait jamais été envisagée par qui que ce soit.
- La propagation d'ondes
magnétiques agissant à distance sur d'autres objets
astronomiques est un phénomène nouveau. Cela n'avait jamais
été envisagé auparavant.
- Existerait-il des spirales de Parker
associées à d'autres étoiles ? La réponse est
probablement oui
!
Voir :
An extraordinary celestial spiral ESA-Hubble.
D’étonnantes structures spirales.
- Ce phénomène peut-il durer longtemps ? Certainement pas.
Tout simplement par le fait des mouvements propres du
système solaire et de OJ 287. Et peut-être aussi par suite de la
précession de l'axe de rotation du Soleil dont il faudrait aussi tenir
compte.
Mais elle serait de l'ordre de 41 milliards
d'années, donc à une échelle de temps telle qu'elle est
totalement imperceptible. (IMCCE-
Observatoire de Paris).
- La preuve qu'un quasar ayant un red shift cosmologique
serait en réalité situé à une distance galactique a été
apportée. Cela ne sera pas sans conséquences en astronomie
et en cosmologie.
- Les observations et les affirmations de Halton
Arp prennent une nouvelle consistance. Il est
désormais impossible de les ignorer.
Que nous réserve l'avenir ? Par exemple :
Les exoplanètes massives seraient-elles,
comme Jupiter, en interaction avec une graine stellaire ? Et
quelles en seraient les conséquences sur la théorie de
l'évolution des systèmes stellaires ?
L'observation des champs magnétiques des étoiles et de leurs
évolutions devrait être riche d'enseignements.
Dernières Nouvelles :
New
Un
Communiqué de presse du CNRS, daté du
14 octobre 2015, nous apprend
la découverte d'une étoile "Delta Scuti magnétique".
New
Un
Communiqué de presse du CNRS, daté du 23 octobre 2015, nous
apprend : De forts champs magnétiques cachés au cœur des étoiles
dévoilés grâce à l’ astérosismologie". La découverte a été faite
dans une "Géante rouge".
Commentaire : Nous
sommes en droit de supposer que ces étoiles auraient, comme le
Soleil et comme la terre, une graine. Cela ouvre la perspective
suivante : Toutes les étoiles auraient une graine.
Quelques objets ayant des cycles compris entre 10 et
12 ans :
|
|
|
Liens avec : |
Objet |
Type |
Cycle |
Soleil |
Onde de Kotov |
Soleil |
Etoile |
11,8 ans (Wolf + Magnétisme) |
|
Oui |
Jupiter |
Planète |
11,8 ans (Période de révolution) |
Oui |
Oui |
OJ 287 |
Quasar ? |
11,8 ans (Electromagnétique) |
Oui |
Oui |
61 Cygni B |
Etoile |
10,2 ans (Activité
chromosphérique) |
? |
Probable |
SO 102 |
Etoile |
11,5 ans (Période de révolution) |
? |
Probable |
Pour 61 Cygni B, nous ne
disposons que de quatre cycles. Pour SO 102,
on ne dispose que d'un seul cycle. Dans ces deux cas, c'est
bien insuffisant pour pouvoir faire une comparaison avec le
cycle solaire.
New
Le 01/08/2017, les scientifiques qui utilisent
l'observatoire solaire de l'ESA / NASHO SOHO ont trouvé des
mécanismes de gravité sismique longtemps recherchés qui
impliquent que
le noyau du Soleil tourne quatre fois plus vite que sa surface.
(Source ESA). Cela semble confirmer qu'il s'agirait bien
d'une graine constituée d'hélium hyperdense, supraconductrice.
Si elle ne l'était pas, alors sa vitesse de rotation serait
rapidement ralentie par les frottements contre l'hydrogène du
soleil. Publication :
https://www.aanda.org/articles/aa/full_html/2017/08/aa30460-17/aa30460-17.html
|
Bibliographie et
Références : |
Publications concernant OJ 287 :
-
Test of the periodicity in the quasar OJ 287 -
R.B. Stothersi and A.Sillanpaa
- The Astrophysical Journal, 475 :L13–L15, 1997/01/20
-
Measuring Black Hole Spin in OJ287 - M. Valtonen,
S.Mikkola, H.J.Lehto, T.Hyvönen, K.Nilsson, D.Merritt,
A.Gopakumar, H.Rampadarath, R.Hudec, M.Basta, R. Saunders
Publications concernant l'activité Solaire :
Tous les travaux cités ci-dessous, ne prennent pas en
considération, et pour cause, la possibilité d'un lien physique
avec OJ 287. Ceci peut expliquer, au moins en partie, la
polémique qui a agité les astronomes à partir de la publication
initiale de A.
Dauvillier.
-
Michel
Trellis - Marées solaires
d'origine planétaire. C.R. Acad. Sci. Paris t.262 : 17, 24,
31 janvier 1966. Serie B, P. 221 - 224, P. 312 - 315, P. 376
- 377
-
A.
Dauvillier - Physique solaire : interprétation mécanique de
l'activité solaire - Ciel et Terre, vol 93, pp.204-214
(juillet-août 1977).
-
Planètes et activité solaire - Jean Meeus
-
Au sujet de la théorie planétaire de l'activité solaire
- A
Dauvillier
-
Réflexions sur les causes de l'activité solaire et de
l'organisation en battements de ses pseudopériodicités.
- Etienne A. Bernard - Institut Royal Météorologique.
-
Apparent relations between solar activity and solar tides
caused by the planets - Ching Cheh Hung (NASA, Glenn
Research Center, Cleveland, Ohio)
-
Dynamics of the interplanetary gas and magnetic fields -
E N Parker - University of Chicago.
-
The interplanetary magnetic field (IMF)
-
The Sun's magnetic field - NASA (La spirale de Parker)
-
The Sun does a Flip (NASA)
-
The sub-Parker spiral structure of the heliospheric magnetic
field
- N.A.
Schwadron and D.J. McComas
-
The Interplanetary Magnetic Field (Parker Spiral) -
M. Piso (MIT),
E. Bertschinger (MIT), M.L. Stevens (MIT)
Publications concernant l'effet CREIL comme
explication possible aux red shifts cosmologiques de certains
quasars :
-
Effet CREIL - Jacques Moret-Bailly.
|
Remerciements : |
A tous ceux qui nous ont apporté leur aide
directe,
souvent décisive. |
|